Cela va dépendre du problème que présente ce collègue. S'il se plaint, on peut l'encourager ou mettre l'accent sur les choses positives ou bien encore juste l'écouter ; mais on peut très vite être submergé. Souvent, les gens disent leur agacement du temps qu'ils consacrent à l'écoute et qui ne sert à rien.
On peut alors pratiquer ce que l'on appelle le sabotage bienveillant ; cela consiste à écouter le collègue mais prétexter une urgence sur toute autre chose de façon à interrsompre la crise que représente la plainte au moment où elle se produit et se développe. Et l'on invite ce collègue à revenir vers soi, mais pas sur le sujet de la plainte entendue au moment où a eu lieu l'interruption.