Le stress post-traumatique expliqué par LACT :
- la dynamique du stress post-traumatique
- de quoi s'agit-il ?
- quel est l'objectif de notre intervention ?
- quelles sont les réactions habituelles de l'entourage et qui ne fonctionnent pas ?
- quel est le coût du stress post-traumatique ?
- quelle est notre méthodologie d'intervention ?
Définition
Dans la dynamique du stress post-traumatique, il y a à l’origine un événement brutal générant un stress d’adaptation qui, s’il ne s’apaise pas, peut devenir un stress post-traumatique.
On parle généralement de stress post-traumatique après 4 semaines. Si dans cet espace de temps, la personne concernée ne parvient pas à prendre du recul par rapport à l’événement, si elle n’arrive pas à juguler l’émotionnel, son corps entre dans une réaction physiologique.
Contrairement à l’animal, l’être humain, plus fragile, est génétiquement programmé pour « se remettre » d’une situation difficile. C’est probablement la raison pour laquelle il a développé une intelligence. S’il n’y a pas réparation de ce point de vue, c’est que quelque chose ne se fait pas correctement.
Comment repérer un stress post-traumatique et que faire ?
Si pour une personne qui vit un stress post-traumatique, la guerre est terminée du point de vue de l’histoire, elle ne l’est pas émotionnellement parlant. Il va donc falloir transformer la blessure en cicatrice, archiver l’événement après l’avoir apurer de toute émotion.
Tentatives de solutions
Que fait en général la personne elle-même ?
Elle essaie de ne plus penser à l’événement, de l’effacer de sa mémoire. Or, c’est impossible et cette impossibilité la fragilise davantage. Car faire l’effort de ne plus penser à quelque chose, c’est y penser quand même.
Elle fuit les lieux, demande de l’aide, se victimise ou essaie de donner du sens à l’événement. Tout ceci entretient l’état dans lequel elle se trouve.
Que fait l’entourage ?
Son entourage lui dit de prendre du recul, de se détendre, de ne pas « se prendre la tête » alors même qu’elle est dans l’incapacité totale de dompter son émotion.
Il peut également nier le problème et refuser de voir les signes de stress intense.
Ou il agit trop vite ou mal, ne pose pas de limites et nourrit ainsi la situation.
L’absence de réponse entretient une ambiance pesante, contribue à une dégradation de l’état de santé de la personne concernée, a un impact sur la perception de l’organisation et encore plus directement sur l’équipe.
Les chiffres montrent que le stress est actuellement à l’origine de 50% de l’absentéisme dans les entreprises.
Notre réponse
Un diagnostic opératoire conduisant à une action ciblée qui passe par :
- L’identification des acteurs impliqués
- Des personnes qui interviennent dans le process pour résoudre le problème
- Des collaborateurs impactés par la situation
- Des actions qui contribuent à rendre le problème persistant
- Des personnes les plus mobilisables pour arriver à une solution
Et un coaching stratégique