Dans la vidéo YouTube "TOC - Une personne qui se ronge les ongles jusqu'au sang : que faire ?" de Claude de SCORRAILLE, l'habitude à long terme d'une femme de se ronger les ongles est explorée. La femme a commencé à se ronger les ongles il y a 20 ans pour lutter contre l'ennui, mais cela semblait également lié à des situations stressantes. L'expert explique que dans de tels cas, la base de la compulsion devrait être le plaisir plutôt que la peur. La femme trouve du plaisir dans la sensation de se ronger les ongles lors des moments de détente. L'orateur souligne l'importance d'identifier l'aspect plaisir et de trouver des moyens alternatifs pour répondre à ce besoin. La vidéo aborde également la relation complexe entre le plaisir et la douleur dans les comportements compulsifs, suggérant de rendre le rituel moins attrayant en en faisant une routine et en exigeant qu'il soit effectué à des moments précis pour aider la personne à reprendre le contrôle. Le but ultime est de transformer la contrainte en un choix conscient plutôt qu’en une habitude inconsciente. Il y a 20 ans , comme moyen de faire face à l'ennui, mais cela semblait aussi lié à des situations stressantes. L'expert explique que dans de tels cas, la base de la compulsion devrait être le plaisir plutôt que la peur. La femme trouve du plaisir dans la sensation de se ronger les ongles lors des moments de détente. L'orateur souligne l'importance d'identifier l'aspect plaisir et de trouver des moyens alternatifs pour répondre à ce besoin. La vidéo aborde également la relation complexe entre le plaisir et la douleur dans les comportements compulsifs, suggérant de rendre le rituel moins attrayant en en faisant une routine et en exigeant qu'il soit effectué à des moments précis pour aider la personne à reprendre le contrôle. Le but ultime est de transformer la contrainte en un choix conscient plutôt qu’en une habitude inconsciente.
Voir moins
-
00:00:00 Dans cette section de la vidéo YouTube intitulée "TOC - Une personne qui se ronge les ongles jusqu'au sang : que faire?" de Claude de SCORRAILLE, il est question d'une femme qui se ronge les ongles jusqu'au sang depuis vingt ans. Elle a mentionné qu’elle avait commencé à le faire lorsqu’elle s’ennuyait et non dans des situations stressantes. Il y avait cependant des situations qui semblaient liées au stress, comme les longues réunions. L'expert explique que dans ce cas, la base de la compulsion devrait être le plaisir plutôt que la peur. La femme en question se prépare à la détente et éprouve du plaisir à se ronger les ongles. Il est important de noter qu'une autre personne a signalé des compulsions similaires, et c'est une façon de faire face à l'ennui ou même à un stress sous-jacent plus profond. L'expert souligne que dans de telles situations, il est crucial d'identifier l'aspect plaisir et de trouver des moyens alternatifs pour satisfaire ce besoin. La compulsion de la femme ne lui pose pas de problème, et il s'agit d'un comportement courant connu sous le nom de trichotillomanie, qui est l'envie de s'arracher les cheveux. D’autres comportements compulsifs, comme la scarification ou l’achat compulsif, peuvent également être considérés comme une recherche de plaisir.20 ans . Elle a mentionné qu’elle avait commencé à le faire lorsqu’elle s’ennuyait et non dans des situations stressantes. Il y avait cependant des situations qui semblaient liées au stress, comme les longues réunions. L'expert explique que dans ce cas, la base de la compulsion devrait être le plaisir plutôt que la peur. La femme en question se prépare à la détente et éprouve du plaisir à se ronger les ongles. Il est important de noter qu'une autre personne a signalé des compulsions similaires, et c'est une façon de faire face à l'ennui ou même à un stress sous-jacent plus profond. L'expert souligne que dans de telles situations, il est crucial d'identifier l'aspect plaisir et de trouver des moyens alternatifs pour satisfaire ce besoin. La compulsion de la femme ne lui pose pas de problème, et il s'agit d'un comportement courant connu sous le nom de trichotillomanie, qui est l'envie de s'arracher les cheveux. D’autres comportements compulsifs, comme la scarification ou l’achat compulsif, peuvent également être considérés comme une recherche de plaisir.
-
00:05:00 Dans cette section de la vidéo YouTube intitulée "TOC - Une personne qui se ronge les ongles jusqu'au sang : que faire ? Par Claude de SCORRAILLE", l'intervenant évoque la relation complexe entre plaisir et douleur dans les comportements compulsifs. , en prenant l’exemple de se ronger les ongles. L'orateur explique que lorsqu'une personne est sous l'influence d'une contrainte, elle en est l'esclave et que souvent l'inconfort associé à la contrainte devient plus important que le plaisir qui en découle. Pour aider quelqu'un à se libérer de ce cycle, l'orateur suggère de rendre le rituel moins attrayant en en faisant une routine, en exigeant qu'il soit effectué à des moments précis et en rendant la personne plus consciente de ses actes. Le but est de transformer la contrainte en un choix conscient plutôt qu’en une habitude inconsciente.on est sous l' influence d'une contrainte, on en est l'esclave, et souvent l'inconfort associé à la contrainte devient plus important que le plaisir qui en découle. Pour aider quelqu'un à se libérer de ce cycle, l'intervenant suggère de rendre le rituel moins attrayant en en faisant une routine, en exigeant qu'il soit effectué à des moments précis et en rendant la personne plus consciente de ses actes. Le but est de transformer la contrainte en un choix conscient plutôt qu’en une habitude inconsciente.
-
00:10:00 Dans cette section de la vidéo YouTube intitulée "TOC - Une personne qui se ronge les ongles jusqu'au sang : que faire?" de Claude de SCORRAILLE, l'orateur évoque l'importance d'imposer un rituel de rongement d'ongles à des moments déterminés au lieu de le laisser reposer sur le plaisir. L’orateur suggère que faire cela pendant seulement une minute devant un verre froid peut être efficace pour aider la personne à reprendre le contrôle. Le but ultime est d’aider la personne à prendre le contrôle lors des moments de détente et à ne pas être obligée d’accomplir le rituel. L'intervenant souligne que ce comportement relève d'une recherche de sensations sur un fondement de plaisir, et dans ce cas précis, la relaxation déclenche le désir plutôt que l'ennui.